Ministère des Sports Mars 2020
Madame la Ministre, votre mandat de Ministre s’exerce dans un contexte inédit, dramatique qui plus est mondial,
comment allez-vous et comment vivez-vous cette période très particulière ?
C’est un exercice très compliqué, car il faut faire face à une crise inédite et meurtrière. Il faut accompagner des acteurs du sport très nombreux, divers, le monde amateur comme professionnel… et derrière il y a toute une économie et des centaines de milliers d’emplois qui en dépendent et qu’il faut préserver.
Votre carrière de sportive de haut niveau vous aide-t-elle dans la gestion de cette crise ?
Le propre de l’athlète de haut niveau est de s’adapter en permanence aux circonstances. J’ai gardé cette capacité d’adaptation. Mais le plus important dans ce contexte agité, c’est de savoir rester calme, garder son sang-froid
même quand ça tangue.
L’actualité des « sports » était très chargée en amont de cette crise, l’immense challenge de Paris 2024, les craintes liées à la mise en place de l’ANS, les discussions autour du budget des sports… tout ceci, que l’on pensait primordial, est devenu d’un coup secondaire ?
Nous avons tous pris conscience que rien n’était plus précieux que la santé. Pour mon secteur, ça veut dire garantir la sécurité des pratiquants et celle des athlètes. Aucun intérêt ne doit primer sur leur santé. Ça ne m’empêche absolument pas de défendre le sport et tout mettre en oeuvre pour que de la plus petite association au grand club professionnel en
passant par l’éducateur sportif, personne ne soit laissé sur le bord du chemin. On connaissait les vertus du sport pour créer du lien social, pour l’éducation de nos enfants…
Cette crise renforce le rôle que doit jouer le sport au service de notre santé. C’est une raison supplémentaire de promouvoir sa place et son rôle.
Le sport est toutefois resté un sujet hautement d’actualité pendant le confinement pour preuve c’était une des raisons valables pour pouvoir sortir de chez soi… on n’a jamais vu autant de joggeurs sur les routes ! Si on ajoute à cela la floraison presque invasive des cours de remise en forme sur les réseaux sociaux, la France serait-elle une nation de sportifs ?
C’est vrai que le sport a connu un engouement extraordinaire, notamment chez les adultes. Au ministère, nous avons d’ailleurs beaucoup encouragé le sport à la maison en déployant une plateforme Bougez chez vous et en relayant les contenus des fédérations. L’enjeu maintenant c’est de garder ces pratiquants supplémentaires, de savoir se réinventer pour les garder captifs.
Quels ont été les grands sujets et grandes missions pour votre ministère pendant le confinement ?
Ça a été très dense. Nous avons dû faire en sorte que les fédérations, ligues, clubs et associations puissent prétendre à toutes les mesures de soutien économique mises en place par le gouvernement et obtenir que ces mesures durent plus longtemps que dans d’autres secteurs. Les accompagner dans les différentes phases de la crise : réduction des jauges, annulation ou report des compétitions et événements. Puis en sortie de confinement, produire avec eux des guides de
reprise d’activité qui respectent les consignes sanitaires et permettent de reprendre le sport de manière progressive et sécurisée.
Concernant le sport de haut niveau, il y a eu l’arrêt de compétitions, le report d’événements dont les JO de Tokyo. Autant les reports ont été acceptés sans trop de polémiques, autant l’arrêt des compétitions et les enjeux économiques induits sont encore controversés… quelle était la philosophie de vos décisions ?
Ma boussole, c’est la santé des athlètes. Ils sont les premiers maillons de la chaine. Leur corps est leur outil de travail et aucun intérêt y compris économique ne peut justifier de jouer avec leur intégrité. C’est normal que cela crée des tensions et des inquiétudes, mais en réalité, l’arrêt des championnats a globalement fait consensus. D’autant que le sport professionnel a été bien soutenu par l’État pendant la crise.
Aujourd’hui, nous sommes dans la deuxième phase du déconfinement, quel est le rôle du ministère des Sports dans ce cadre ?
Nous animons des séances de travail régulières avec tous les acteurs du sport : fédérations et ligues, collectivités, supporters, syndicats pour adapter la pratique du sport au contexte sanitaire du moment. On travaille étroitement
avec les organisateurs d’événements pour les guider dans cette période délicate. J’ai également porté des mesures législatives pour sécuriser les décisions des fédérations face à la crise ou encore permettre aux organisateurs d’événements de proposer des avoirs en lieu et place des remboursements de billets ou abonnements.
Avec quels organismes ou institutions collaborez-vous dans le cadre de ces missions ?
Nous avons dès le début de la crise associé toutes les parties prenantes du sport : Comités olympique et paralympique, Association des DTN, Collectivités, Paris 2024, et bien sûr l’Agence nationale du Sport. Et puis nous travaillons en lien étroit avec la cellule de crise ; le ministère de la Santé pour élaborer les différentes étapes du déconfinement pour
notre secteur.
Quelles sont les phases suivantes du déconfinement à venir ?
Les prochaines étapes sont la reprise des sports collectifs et des sports de combat qui sont encore soumis à une pratique alternative, car les contacts ne sont encore pas possibles. Et puis préparer le retour des compétitions sportives avec du public. Cela se fera avec une jauge limitée à 5000, mais on espère que cela évoluera dans le bon sens d’ici la rentrée.
Il est vrai que le confinement est propice à la réflexion et on lit, voit, entend différentes voix qui évoquent le bon moment pour bâtir une organisation du sport différente de celle passée. On prend conscience en cette occasion dramatique de l’importance du sport santé. or, le sport santé semble être le parent pauvre en rapport du sport de compétition ?
Le sport professionnel, le sport spectacle, les grands événements sportifs sont la vitrine du sport et son moteur économique. Mais je crois en effet qu’il est temps de regarder aussi le sport par l’autre bout de la lorgnette
sous l’aspect solidarité, citoyenneté, éducation et bien sûr, santé. Le sport est organisé par le Ministère, l’Agence Nationale du sport, les fédérations, les ligues, l’éducation nationale, le secteur privé du sport…et le domaine public emprunté par joggeurs, rouleurs…sans étiquettes.
N’y a-t-il pas finalement 3 sports : le sport pro d’élite, le sport de compétition amateur et le sport santé, loisir et éducatif, quelle est en quelques mots votre vision de la gestion idéale ?
On doit s’adapter aux besoins, aux envies des Français. À mes yeux, le plus important, c’est qu’on pratique un sport et de préférence de manière encadrée. Mon enjeu à moi, c’est que le sport soit considéré comme un droit et fasse l’objet d’une véritable politique publique à laquelle nous devons mieux associer le secteur privé et le mouvement sportif. C’est en ce sens que nous avons créé l’Agence nationale du Sport. Cette agence est un opérateur du ministère qui associe à ses décisions les acteurs autres du sport dans le but d’être plus efficace ensemble.
La « licence » est un paramètre crucial dans l’attribution des subventions d’état, les autres fédérations affinitaires ou pas, oeuvrant plus sur un volet santé, loisir, sport au travail sont donc moins soutenus dans leur développement, n’est-ce pas dommageable ?
Aujourd’hui, ce n’est plus le seul critère. Ce qui compte à mes yeux, c’est le service public que doivent offrir associations et fédérations : un encadrement de qualité, un cadre sécurisé et une expérience utile enrichissante pour chacun qu’on soit jeune ou âgé, en bonne santé ou malade.
S’il est un sujet toujours aussi présent dans les médias, mais aussi tout simplement en se promenant dans la rue c’est bien l’incivilité actuelle qui apparait exponentielle. Le sport est vanté pour ses qualités d’éducation civique, aurait-il perdu de son aura ? De son efficacité ? ou est-il moins présent qu’avant ?
Je crois très profondément que le sport est essentiel pour l’éducation, la construction de la citoyenneté, mais aussi l’insertion. Que ce soit en club, à l’école, dans le temps périscolaire, l’éducateur a ce rôle d’éduquer aux règles sportives et au vivre ensemble. Plus que jamais. Le poids économique du sport en France est de 91 milliards d’euros (articles des Échos par Christophe Palierse publiés le 3 mars 2020), auxquels il convient d’ajouter les investissements des collectivités et le sponsoring, on dépasse donc les 100 Milliards pour une dépense publique entre 15 et 20 Milliards.
Vous qui êtes issue de cette filière ne pensez-vous pas que les vertus en matière de santé d’abord et de civisme vaudraient un engagement plus important ? Cela n’est pas qu’une question de budget ?
Le budget du ministère des Sports pour l’année en cours est le plus élevé de ces 10 dernières années ! Mais l’investissement de l’État pour le sport ne se limite pas au budget du ministère. Si on considère les professeurs d’EPS, les crédits investis pour la recherche dans le sport débloqué dans le cadre du Plan d’Investissement d’Avenir ou encore les financements d’autres ministères comme celui de la Ville à des acteurs sportifs, l’investissement de l’Etat est massif.
36 0000 associations sportives reprendront bientôt leurs activités. Pour beaucoup, l’arrêt des compétitions, des
événementiels ou tout simplement de la pratique a généré un énorme manque à gagner et probablement des pertes. Quels sont vos relais pour connaitre leurs difficultés ? Quelles sont les actions du gouvernement pour les aider ?
Nous avons veillé à ce que les associations comme les entreprises du secteur sport soient éligibles à tous les dispositifs de soutien économique : fonds de solidarité, activité partielle, prêts garantis par l’État. Et, depuis le Comité interministériel du Tourisme, nous avons annoncé que ces aides vont durer plus longtemps pour le sport avec en plus, des exonérations de charges pour les plus petites structures. En parallèle, le ministère travaille à un plan de relance pour aider le monde sportif à reprendre les bons rails à la rentrée.
Quel message souhaitez-vous leur faire passer en ces moments difficiles ?
Qu’il faut de la solidarité à tous les échelons : du sport pro vers le sport amateur, des sponsors, des diffuseurs, des employeurs, des sportifs aussi. Chacun doit faire un effort et se soucier de l’intérêt général.
S’il y a un point que je n’ai pas abordé et qui vous tient à coeur n’hésitez pas à ajouter une question et votre réponse, de même si vous souhaitez amender une question.
Oui je voudrais dire que même pendant la crise sanitaire, le ministère est resté très actif sur la construction du plan de prévention des violences dans le sport et l’instruction des signalements. Les fédérations sont vraiment mobilisées à nos côtés pour faire en sorte qu’on dresse un véritable cordon sanitaire autour de nos clubs pour garantir la sécurité
des pratiquants. Je suis également très mobilisée face au fléau des noyades. En sortie de déconfinement, on assiste à des comportements imprudents et parfois irrationnels qui causent hélas beaucoup d’accidents en piscines privées ou dans les cours d’eau. Nous allons bientôt sortir une nouvelle campagne de prévention, car on sait les fortes chaleurs
propices aux noyades. En parallèle, nous faisons en sorte de former le plus d’enfants possibles à l’aisance aquatique et les initier très tôt à l’eau, les mettre en sécurité et faciliter l’apprentissage de la natation.
Merci Madame la Ministre.
Propos recueillis par André Lafenetre

Un événementiel sans ses partenaires n'existe pas, les engagements des notres sont exemplaires : evolucium s'engage dans le beach, Martin Gestion acteur du quartier de Montaudran sera présent également sur le terrain de beach puisque son entreprise participera au tournoi organisé par la Ligue du Sport en Entreprise, IDde Com aux talents multiples, habille le staff, les joueurs et le public qui le souhaite, mais sera également le maitre du "son" sur la place, le DJ du week-end durant les tournois de samedi et dimanche... aux couleurs de Fun Radio

L'organisation du Toulouse Beach Sports fait des choix raisonnés : Le choix de prendre un sable de la Garonne extrait à quelques kilomètres de Toulouse, AGOARENA partenaire du Beach, qui recycle le sable dès le lendemain de l'événement. Nous avons choisi la société Easytri afin de trier tous les déchets de notre événement. En matière d'eau, et il va en falloir avec ce temps estival, nous avons décidé de ne pas utiliser de plastique mais de servir une eau de grande qualité. Pour cela Action Vitale notre partenaire filtrera l'eau de ville à l'aide de 2 osmoseurs pour la meilleure hydratation des sportifs de haut niveau et du public le souhaitant. Pas de verres ou contenants éphémères, nous avons fabriqué des Ecocups (à l'enseigne de notre événement) consignés ou vendus à 1€, mais pour éviter les déchets !

Nos partenaires à votre service : Calicéo vous proposera des massages et des jeux concours, l'Institut Toulousain d'Osteopathie réalisera des bilans... Efformip, la Gendarmerie, Action Vitale animeront le village... Vous pourrez profiterer du marché de producteurs le dimanche matin. Profitez des commerces de la place : 7 restaurations pour 7 cuisines différentes. Un cinéma UGC, La Halle des Machines habités de géants magiques et de mécaniques fascinantes, et le témoignage de la formidable épopée de l'aviation et de l'aéropostale sous l'oeil du petit prince

La Fondation Toulouse Cancer Santé est reconnue d’utilité publique par le décret du 5 mai 2006, dans le cadre du dispositif national de financement de la recherche et de l’innovation. Objectif : promouvoir et financer la r echerche médicale, la lutte contre le cancer en particulier. Missions : permettre, en s’appuyant sur le formidable potentiel du campus de cancérologie de Toulouse, l’association inédite de quatre technologies génériques : les info-technologies, les nanotechnologies, les biotechnologies et les techniques de radiothérapie et d’imagerie. La Fondation sera présente sur le village des partenaires du Toulouse Beach Sports.

Nuances Unikalo rejoint notre Toulouse Beach Sports by Mode Technique... Merci de peindre en bleu le ciel de Montaudran ! Depuis 1936, Unikalo développe, fabrique et commercialise des peintures afin d'apporter des solutions professionnels du bâtiment Unikalo c'est également une démarche d’éco-conception des produits et de certification ISO 14001 des sites, des engagements RSE forts : - Inscrire la croissance économique de l’entreprise dans une optique de Développement Durable, - C oncevoir, produire et distribuer des peintures et produits respectueux des Hommes et de l’environnement - A nimer une organisation du travail respectueuse de ses collaborateurs. Nuances Unikalo Toulouse Nord 308 Av. des États-Unis · 05 34 45 15 40 Nuances Unikalo Toulouse Sud 18 bis Rue Jean Perrin · 05 34 35 10 20 Nuances Unikalo Toulouse St Orens 306 Rte de Revel · 05 61 24 85 40

3 jours d'animations, du sport de très haut niveau, un DJ pour du son fun beach, dans un lieu atypique au pays des géants, le beach est dans la place... place Bouilloux Lafont Toulouse devant la Halle de la Machine Dimanche Les phases finales : - Quarts & demies pour des finales internationales programmées à 15h pour les femmes et 16h pour les hommes. - Qui va gagner le tournoi inter-entreprises ? un avionneur, un laboratoire, la Ligue du sport en entreprise, le Club 50 verdict dimanche 16h...

3 jours d'animations, du sport de très haut niveau, un DJ pour du son fun beach, dans un lieu atypique au pays des géants, le beach est dans la place... place Bouilloux Lafont Toulouse devant la Halle de la Machine Samedi Tournois officiels de Beach-Volley - Lancement officiel du tournoi international, 8 équipes nationales de 8 nations européennes s'affrontent sur la plage inédite devant la Halle de la Machine. - Début du tournoi inter-entreprises , de belles enseignes, de la convivialité et de l'adrenaline...

3 jours d'animations, du sport de très haut niveau, un DJ pour du son fun beach, dans un lieu atypique au pays des géants, le beach est dans la place... place Bouilloux Lafont Toulouse devant la Halle de la Machine Vendredi Animations, exhibitions et Initiations au programme de la journée. - Sous l'encadrement du Beach Volley Toulousain le public et des jeunes des écoles viendront pratiquer du beach - La Ligue de Badminton fait son show sur la terre d'envol. Exhibitions de haut niveau et initiations pour le grand public...venez essayer !

Un événement Fun Radio Fun Radio, la radio du beach-volley va relayer sur ses antennes notre événement : Toulouse Beach Sports by Mode Technique. La plage inédite devant la Halle de la Machine vibrera au meilleur son Fun Radio. DJ et le meilleur commentateur du beach pour un événement sportif de très haut niveau !!!

Les Virtus Global Games est la compétition internationale la plus importante pour les sportifs de haut niveau avec déficience intellectuelle, porteurs de Trisomie 21 et avec des troubles du spectre autistique (TSA) sans déficience. Cet évènement a lieu tous les 4 ans. La Fédération Française du Sport Adapté organise la 6e édition des Virtus Global Games, un an avant les Jeux paralympiques de Paris. Il s’agit d’une étape très importante avant les Jeux Paralympiques de Paris 2024 ! La Fédération Française du Sport Adapté attend 800 sportifs en situation de handicap, 60 nations, 300 officiels, et 400 bénévoles Pour l’organisation de ces 9 championnats du Monde en simultané : Para athlétisme adapté, Para aviron adapté, Para basket-ball adapté, Para cyclisme adapté, Para équitation adapté, Para futsal adapté, Para natation adapté, Para tennis adapté, Para tennis de table adapté La délégation française sera composée de 180 sportifs. « Cette compétition va permettre au Sport Adapté et à ses sportifs de briller et de rayonner sur l’ensemble du territoire national », précise Marc Truffaut, président de la Fédération Française du Sport Adapté. Au-delà de la simple organisation d’un évènement sportif, la FFSA a la volonté de construire un héritage durable dans la société française et dans la communauté para sport. En effet, les Global Games est un évènement international qui va permettre de sensibiliser le public et les sportifs en herbe à la pratique du sport adapté. Des groupes de bénévoles en situation de handicap issus des différentes régions de France seront présents pour aider au bon déroulé de la compétition, et de nombreux supporters sont attendus. De plus, avec son projet fédéral 2021-2025, la Fédération Française du Sport Adapté a pour objectif majeur de favoriser l’engagement des personnes en situation de handicap mental, psychique et/ou présentant des TSA, dans la prise de responsabilité au sein de la vie associative fédérale. Cela consiste à accompagner les personnes pour leur permettre de s’investir dans la fédération en tant que : - Encadrant des activités sportives. - Juge, arbitre ou officiel dans les pratiques para sport adapté. - Dirigeant de son club, de sa ligue ou de sa fédération. - Organisateur de rencontres sportives. Pour la région Occitanie, 13 sportifs (dont 2 sportives) sont sélectionnables pour y participer : - 3 en para football adapté, - 2 en para athlétisme adapté, - 2 en para basket ball adapté - 5 en para tennis de table adapté, - 1 en para natation adaptée. CONTACT Siège social Ligue Sport Adapté Occitanie 7 rue André Citroën 31130 Balma - T. 05 61 20 33 72 - sportadapte-occitanie.com - ligue.occitanie@sportadapte.fr Zone sportive Méditerranée Maison Régionale des Sports CS 37093 - 1039 rue Georges Méliès 34967 Montpellier cedex 2 - T. 04 67 82 16 80 Facebook : LSAOccitanie - Twitter.com : LSA_Occitanie